Samedi 9 juillet 6 09 /07 /Juil 08:25



Son ex fait chier. Elle sait pas ce qu'elle veut, fait risette à midi pour faire la gueule le soir, et lui, il ne sait plus sur quel pied danser. Il a dormi un peu, mais ça le perturbe encore, il traîne, allongé au lit, l'air morose. Je tente de le dérider : avant la sieste, il a eu droit à la turlute du siècle, et visiblement ça lui a plu. Il réclame :

"Encore"

J'ai pas envie de lui faire ce plaisir, là, tout de suite. Sans doute parce qu'il réclame et que je ne suis pas en mode obéissante. Je commence néanmoins à léchouiller son téton puis à le mordre, un peu. Tiens... le mordre, ça ça me fait envie. Je joue des doigts, de la langue, des dents, comme le chat qui attendrit sa proie avant de la bouffer. Il a fermé les yeux et soupire, se contracte un peu, sous mes coups de dents encore joueurs. Je joue comme ça un moment, je lui murmure à l'oreille combien j'aime quand il bande, et deux trois autres cochonneries du genre, qui le font rire. Je mords son épaule, un peu plus fort, son cou, j'attrape ses cheveux... Il n'a pas envie de se laisser faire, il se penche et mord mon bras, ça fait mal mais bizarrement, ça ne me gêne pas. Hé! C'est moi qui suis en mode sadique, là! Oh!

"Tu te venges?"

"Nan, chais pas, j'avais envie..."

Je regarde mon bras, la marque de ses dents est profonde, et restera sans doute quelques jours... Marre, j'ai tout le temps des bleus là quand je le quitte, il me mord toujours au même endroit...

"T'aurais pas dû faire ça... T'aurais vraiment pas dû"

Cette fois, c'est plus pour de rire! Je l'attrape, entre les cuisses, je me penche, ma langue va le fouiller, je sais qu'il adore ça, ma langue contre son sexe, dans tous les creux possibles de son anatomie. Il se laisse faire, inconscient du danger? Conscient, sans doute, mais trop excité pour avoir peur. Mes dents tranchent dans le vif : l'intérieur de la cuisse, puis la peau des bourses, mais ça ne me suffit plus...Je veux de la chair.

"Tourne toi!"

Il a eu mal, je l'ai senti tressaillir. Mais il obéit quand même : il a trop envie pour se formaliser de la douleur, sans doute.

Je lèche, je flatte de la main, je mords, je lèche... J'alterne avec délice les coups de langue, et de dents sur ses fesses. Je porte même un coup plus fort du plat de la main, alors qu'il a remonté les jambes pour s'offrir un peu plus, il lâche un grognement indistinct, mais ne râle même pas. Pourtant, j'ai raté ses couilles à un cheveu! Je le mords plus fort, une fois ou deux, je jubile, mes ongles, courts, mais quand même coupants, lacèrent ses flancs, ses cuisses, il marque tellement vite j'ai peur d'y aller trop fort... Je vais chercher la cravache, sa cravache, la courte, avec le bout large, l'autre ne rentre pas dans ma valise, j'ai dû la laisser chez moi. Je ne porte que des coups très légers, pour souligner une caresse, ou avant de lécher sa peau, j'ai envie de jouer les contrastes, chaud, froid, dur, doux, douleur, plaisir... Bon, là, j'y suis allée un peu plus fort, une marque rectangulaire flamboie dans le creux de sa fesses gauche... Oups... Je ricane, il n'a rien dit!
Je le branle, mais au fond je m'occupe surtout de déverser sur lui ma pulsion : lui faire mal, planter mes dents, sentir le goût de sa peau, plus fort... Je le prends dans ma bouche et le mordille, il se rétracte un peu, et je le sens hésiter, prudent, mais offert quand même, je le regarde dans les yeux, alors que je viens griffer son sexe de mes incisives :

"Tu as peur?"

"Ouais, un peu quand même..."

"Tu as confiance en moi?"

"Oui."

Ca me suffit, soudain... Je me sens mollir, je ne sais pas pourquoi, mais d'un coup, le jeu me lasse, je fatigue, peut-être, ou je me freine... Pas envie d'aller plus loin pour qu'il me dise stop, en fait. D'ailleurs, il semble se lasser aussi : Il m'attrape, me pousse, s'installe sur moi, au dessus de moi... Baston!

Je me débats, je le griffe, il se caresse, et me gifle, gentiment.

Je scrute ses yeux, et ma main s'écrase sur sa joue, ça claque. Je sais qu'il va me la rendre, mais j'ai pas envie de céder si facilement.

Il me la rend...c'était couru... Et ça fait mal, la vache... Il a la main lourde, quand il veut. Je cède un peu de terrain, il est proche de la jouissance, je caresse son dos, puis, je le griffe, encore, et encore, je lèche son ventre, mordille sa chair... Alors qu'il jouit, j'enfonce mes ongles dans sa peau...


Par Kireseth - Publié dans : Super Héros
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